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Le grand corps : Individuel, Affections et politique dans la philosophie de Spinoza
N'Dré Sam, BEUGRE.
Pontificia Universidad Javeriana, vol. 10, núm. 3, 2019, pp. 116-132.
  ARK: https://n2t.net/ark:/13683/pr5C/uke
Resumen
Dans cet article, le philosophe néerlandais, Spinoza veut atteindre, et nous aider à atteindre, le bonheur total et absolu qui prend en compte la santé mondiale, c’est-à-dire un bien-être qui contemple tout le corps, pas seulement une de ses parties et un plaisir qui prend en compte toutes les dimensions temporelles. Il s’agit d’atteindre le maximum de bonheur qu’un être humain peut éprouver, en plus d’atteindre un tel État-providence, qu’il ne peut être terni par quoi que ce soit ou par quelqu’un d’autre. Pour y parvenir, il est nécessaire de fonder nos vies sur la connaissance et de jeter les bases d’une métaphysique, d’une physique, d’une épis-témologie et d’une anthropologie afin de soutenir notre éthique et de savoir nous conduire pour atteindre le bonheur suprême ou, comme l’appelle Spinoza, la béatitude. Le bonheur ou la béa-titude suprême est obtenu par l’acte de savoir. Cependant, cette connaissance n’implique pas la suppression des affections, mais l’utilisation rationnelle de celle-ci. L’affection qui crée la con-naissance doit nous inciter à un comportement rationnel. Plus nous connaissons une affection, moins l’esprit souffrira pour sa cause et nous serons en mesure de le contrôler beaucoup plus.
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