Sachant que la loi de l'être par rapport au sujet connaissant consiste en l'être-conscient, la conscience, selon Jean-Paul Sartre, dépasse le statut d'un mode particulier de connaissance comme sens interne ou de connaissance comme connaissance de soi, constituant la dimension d’être transphénoménal. Ainsi, sur la base du principe phénoménologique-ontologique-existentiel, le Prof. Luiz Carlos Mariano Da Rosa se concentre sur la relation entre le phénomène de l'être et l'être du phénomène et l'irréductibilité de l'être du phénomène au phénomène de l'être, en soulignant le processus qui superpose l'être du phénomène à la condition phénoménale et converge vers la conscience comme connaissante telle qu'elle est dans un mouvement qui échappe au tel qu'on le connaît, franchissant les frontières de la prééminence du savoir. Si la conscience émerge comme conscience de quelque chose dans un processus dont l'être implique un être qui s'enferme comme non-conscient et transphénoménal, ce qui s'impose, selon Sartre, n'est autre que la conscience comme être qui enferme la question de son être comme être. être qui implique un autre être que lui-même. Ainsi, en se concentrant sur l'événement d'apparition de l'existant humain par rapport à l'être comme découverte d'un monde et la négation comme moment essentiel et primordial, l'article met en évidence la raison pour laquelle l'existant humain dans son être implique la possibilité de l'apparition de rien dans un processus qui conclut à la liberté comme condition de la néantisation du néant.